quinta-feira, 21 de maio de 2009

Poésie par Eduardo Alexandre Miranda Pinto

Après ton métier chez moi
J’ai une charge qui mêle
C’est notre tendre endroit
L’élixir et toi tu est toujours belle
Je joue de tous les pianos, oui
Car ton toucher vien en vol
L’absence en tempête sourit
Il fait froid tu est aussi folle
Je t’écoute ici et tu est loin
Toi même un chemin parfumé
Embrasse tous mes coins
Le spleen et toute cette amitié

Un soleil qui pleure sa copine
Au matin tu dresses la lune
Nue tu est là divine
Je prends l’infinie fortune
Un portrait aux mains du ciel
Du vin pour pas blesser la pluie
Tu vois j’ai déjá vu les belles
Aucune ne t’as vaincue, à mon avis
Dans ton retour du grand tout
Je pense et je rigole
La vie elle nous boit en absolu
Nous nous avons dans ta bagnole


Je viens des exceptions,
je suis un anniversaire une croix.
Avoir le ciel surement une loi,
car les nuages m’embrassent
et je touche les yeux du retour
qui pêchent les mots,
les blessures en blanche,
et aussi les cheveux de la pluie.
On y restent les nus…

Je vois le mystère que tu rêves
Sur le rapport d’un parapluie parfumé
Lorsque les saisons nous attendent
Sur l’avenue de l’élixir
Qui fait tomber la chance
D’un jeune silence, et
Je te crois
Comme l’absence du vol
Sur la peau de l’avenir

Pour les pluies rêvées
Chaque trésor se lave
et sur le fleuve aimé
j’écoute ceux qui savent
c’est le désir ici même
et sur leurs plages
tu changes la haine
comme en nous les nuages

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